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Le Dossier Médical |
Le dossier
papier Le mauvais logiciel médical Les propriétés des données Structuration du dossier Accès aux données: LE DOSSIER VIVANT Contraintes |
Le médecin généraliste met en jeu un nombre
important d'informations qu'il détient sur son patient : un patient a une
histoire comportant une multitude d'éléments dans des domaines variés :
qu'ils soient biomédicaux ( ce sont ceux les plus nombreux ), administratifs,
environnementaux ; celles ci sont parfois du domaine du vécu par rapport à ce
patient, mais sont également des événements intuitivement mémorisés. Pour
suppléer la mémoire insuffisante du médecin ( et du patient ) il
est fait appel au dossier médical (obligatoire déontologiquement
depuis 1995) .
Ce dossier comprend :
-personnels (médicaux ou chirurgicaux), allergie et intolérance comprises
-familiaux.
(Idéalement reliés au module d'ordonnance pour détecter les contre-indications à la prescription de certains médicaments)
Les antécédents pourraient être exploités autrement:
1-Un évènement partie d'une consultation ( syndrome appendiculaire) devient ultérieurement un antécédent (Intervention pour appendicite): On doit actualiser manuellement la zone 'antécédents', si elle est autonome, en rajoutant l'appendicite; ou bien on "coche" cet évènement dans la consultation, ensuite une touche en visualisant tous les évènement "cochés" donnera la liste des antécédents.
2-Il pourrait exister une rubrique "Facteurs de risque" contenant les cancers , maladie cardio-vasculaire familiaux mais aussi le taux de cholestérol, l'exposition à l'amiante..
Ce dossier comporte une phase d'écriture et une
phase d'affichage.
Le support était jusqu'à ces dernières années
presque exclusivement le papier : le mérite principal en était
l'utilisation de l'écriture libre par plume qui est le moyen le plus
facilement utilisable par tout individu. La lacune de ce support est son
impossibilité presque totale à remplir correctement la fonction d'affichage et
de recherche.
Et bien que certains médecins aient fait un
effort important de structuration pour mieux accéder à cette fonction, on peut
considérer que les dossiers médicaux sur support papier sont de
véritables cimetières de données. (données écrites et jamais relues)
Si l'on analyse la cause essentielle de l'échec du
support papier, c'est tout
simplement parce qu'il existe un facteur temps limitant pour la recherche de
données sur son patient : il convient de rappeler que l'acte dure en
moyenne 14 mn, que du temps est déjà consacré à la rédaction de
documents ( prescriptions diverses, certificats ..) et que s'il faut passer
plusieurs minutes à rechercher des données, soit il faut allonger le temps de
consultation, soit cela se fait au détriment du temps de communication, donc de
la relation médecin malade.
En théorie, le
support informatique permet la fonction de recherche de données et d'affichage
grâce à ses capacités de tri rapide de l'information.
En pratique quelques logiciels n'ont qu' une seule possibilité de saisie en texte libre, sans aucune structuration.
Si l'on faisait une étude sur les
dossiers des médecins déjà informatisés et travaillant sur des logiciels
permettant la structuration, on s'apercevrait que beaucoup de médecins
utilisent leur logiciel comme une feuille de papier: Ils tapent l'information
en "texte libre" ou des questionnaires mais il faut relire
systématiquement toutes les précédentes informations pour retrouver
l'information recherchée.
Les études dans les revues, cahiers des charges ne
parlent curieusement jamais de la fonction d'affichage des logiciels.
L'en-tête:
Une donnée doit impérativement avoir:
Le contexte peut contenir aussi le type de la consultation: Consultation simple, Visite annuelle, Expertise, Examen du 4éme mois, Examen gynécologique, ou le grand évènement (le problème?) dont faire partie la visite: 2éme Grossesse, Hospitalisation 3.
Donnée
subjective ou objective?
Il faut s'interroger sur la qualité de
l'information à stocker : s'agit il d'une information subjective (d'interprétation)
ou objective (factuelle) ?
Poids = 12 kg est une donnée objective.
"Le patient ne semble pas convaincu qui faut suivre
régulièrement son traitement" est une donnée subjective.
Les données objectives ou factuelles regroupent
:
- la partie administrative.
- l'observation médicale qui contient les
données de l'interrogatoire, de l'examen clinique, les examens
complémentaires, les diagnostiques..
Les données subjectives ou d'interprétations
regroupent :
-les appréciations les commentaires, les
notes sur le malade,
- les problèmes posés et les hypothèses
diagnostiques,
Les prescriptions, le résumé de sortie et les
lettres sont suivant les auteurs classés informations objectives ou
subjectives.
Depuis le 4 mars 2002, le patient bénéficie du libre accès à son dossier, aussi la distinction 'subjective-objective' prend toute son importance: Les données objectives seront mises à la disposition du patient à sa demande, les données subjectives considérées comme des notes personnelles du médecin seront conservées. Un moyen distinguant donc la nature des données doit être mis en oeuvre. (Item par nature subjectif: Créer une question 'Notes personnelles' qui ne sera pas imprimer, ou cocher au coup par coup des informations ne devant pas être imprimer?) voir: confidentialité.
Le concept S.O.A.P (voir plus bas) tente de structurer cela.
Durée de vie des données.
Certaines données sont importantes quelque soit leur date: (Appendicectomie),
d'autres perdent de la valeur avec le temps.
Une donnée d'examen clinique qui n'a pas de vocation épidémiologique notée lors de la construction d'un diagnostic a une durée de vie courte (gorge rouge), de l'ordre de quelques jours, avant que la synthèse soit réalisée; une coloscopie a une durée de vie de 5 ans en général, une mammographie a une durée de vie de 2 ans.
Pour certaines données, la dernière en date est la plus importante (Résultat du TR), en cas de recherche dans le dossier, il est important que celle-ci soit rapidement affichée et bien visible.
La durée de vie peut être très courte, en pratique l'information restera toujours (et doit rester) dans le dossier.
Usage interne ou externe?
Il faut également s'interroger sur la destinée de
la donnée : va-t-elle être uniquement à usage interne pour ce médecin
ou va-t-elle être destinée à être partagée par d'autres intervenants :
dans ce dernier cas il s'agit d'utiliser si possible un langage compréhensible
et utilisable par tous.
Il faut donc distinguer :
Confidentialité:
On peut ajouter dans chaque consultation un
niveau de confidentialité:
Niveau 1: Accès à tous
Niveau 2: Accès au seul utilisateur qui a
enregistré la consultation.
Niveau 3: Accès à tous mais interdiction
d'exportation.
Niveau 4: Accès au seul utilisateur qui a
enregistré la consultation et interdiction d'exportation.
Les données subjectives considérées comme des notes personnelles du médecin seront exclues de l'impression du dossier demandé par le patient.
Traçabilité des données.
Sur le plan médico-légal et pour la traçabilité de l'information les modifications doivent aussi être enregistrées.
Qualité des données.
Prenons un exemple:Le patient a eu une réaction cutanée à type d'urticaire après avoir pris de l'amoxicilline:
1- Dans les questions/réponses:
Si on veut enregistrer une donnée objective dans le cadre des questions/réponses, il faut qu'elle soit significative à 3 niveaux :
La aussi en cas de données à usage personnelles,
le médecin a ses propres critères mais l'expérience prouve que ces critères
sont oubliés ou modifiés avec le temps. Le libellé des questions très
explicite et l'usage de réponses préenregistrées permettent de conserver à
long terme une bonne qualité des données.
Pour les examens biologiques se pose le problème de l'unité. Il est possible de mettre l'unité dans le libellé de la question ("Glycémie en g/l") ou dans la réponse. Il est probablement plus pratique de la mettre dans le libellé. Il faut le faire même pour des choses simples: Le poids est noté en Kg (Attention au bébé qui pèse 3250 Gr). La taille en Cm ou en M ? (Afficher ultérieurement un tableau de taille avec des données en cm et d'autres en m pose quelques problèmes)
Pour la biologie les valeurs normales peuvent être modifiées par l'usage de nouvelle condition de laboratoire. Le plus simple est de créer une nouvelle question avec dans le libellé ou les réponses mémorisées les nouvelles normes.
2- Savoir de quoi on parle au niveau des diagnostics:
Pour enregistrer les divers diagnostics, nous utilisons des termes qui ne sont pas toujours clairs, qui sont différents d'un moment à l'autre pour un même médecin, ou différent entre médecin. Il y a sûrement grosse perte d'information.
Pour parler toujours de la même chose, il est possible utiliser:
Le
texte libre:
A exclure totalement.
Le
Questionnaire et les questions:
Plutôt que de taper 'Le poids du patient est de 12 kg' ou même 'Poids=12', il est plus simple, plus rapide de charger un questionnaire contenant la question "Poids en Kg: et de simplement taper '12'.
Les questions
Les questions ou champs prédéterminés sont nommés Questions/Réponses ou Champs/Valeur, Chapitre, Sous Chapitres/Réponses, Masque de saisie/Réponses, Item/Valeurs dans certains logiciels.
Les données à champ prédéterminé (questions) peuvent être saisies sous forme:
En pratique la plupart des logiciels ont bien compris ce qui précède et utilisent: Le système des questions/réponses (champs/Valeurs):
Les questionnaires:
Regroupement de plusieurs questions, parfois appelé "maquette" ou "masque de saisie" ou "transactions".Prenons l'exemple d' HEALTH one (http://www.hdmp.com/)
présenté comme une innovation majeure par la presse. Il est décrit que le
dossier comporte une série de transactions composées d’items contenant
des réponses. Cela ressemble étrangement au consultations, questions
réponses!!
L'usage des questions et questionnaires est donc incontournable (mais pas suffisant).
L'usage des questionnaires a un autre avantage : en remplissant son questionnaire le médecin suit une ligne directive, il est plus systématique dans son travail, il évite d'oublier une question, un examen.
Les questionnaires être l'œuvre du médecin ou avoir été validés comme respectant des règles de bonne pratique, des consensus: On retrouve cela dans les procédures de soins chères au logiciel Médiwin.
Exemple:
Les bonnes pratiques en matière de suivi du diabète conseillent de contrôler
à des intervalles précis certains examens clinique et para clinique: Le
questionnaire dans ce cas est composé de question reprenant ces examens et
indiquant leur fréquence.
Pour un usage personnel, les médecins travaillent de divers manières :
Les réponses, réponses préenregistrées, thesaurus ou liste de réponses:
Il existe une autre difficulté dans la saisie des réponses :Pour les diagnostics, les antécédents on peut aussi utiliser les dénominations extraites de classifications (CIM10, CISP..) Cela donne l'avantage d'avoir des termes communs à tous les médecins. Cela apporte aussi une certaine lourdeur à la saisie. Enfin ces classifications ne sont pas adaptées à la pratique des généralistes. Le dictionnaire de la SFMG apporte une partie de la solution en permettant de coder les diagnostiques les plus courants en médecine générale avec leurs symptômes.
Certains logiciels sans aller jusqu'à la notion de POMR (voir plus loin) utilise déjà une certaine structuration:
Une consultation peut avoir un type ou un titre:
Elle peut faire partie d'un grand évènement (C'est presque la notion de 'problème' du POMR):
'1ere grossesse', 'Diabète', 'Suivi du néo du colon'
La
classification par spécialité.
Elle peut satisfaire certains généraliste: chaque consultation doit faire partie d'une spécialité: consultation d'ORL, de Gynécologie...
Si le patient vient pour un problème ORL, on ne visualise que les consultations ORL.
Qu'est ce qu'un problème?
Les patients sont suivis simultanément pour plusieurs pathologies la prise en charge s’étalant dans le temps. Par exemple, un patient peut être suivi à la fois pour une hypertension artérielle et pour une polyarthrite : lors de chaque consultation, un des 2 problèmes peuvent être abordés, ou les deux, ou aucun d’entre eux si le patient consulte pour une affection intercurrente telle qu’une épisode angine.
Le dossier médical doit permettre de visualiser aussi bien l’ensemble des problèmes abordés lors d’un contact (Le contenu de la consultation du 12/03) que le suivi longitudinal de chaque problème.(Les chiffres de la tension tous les 2 mois)
La notion de « problème » reste assez vague, incluant diagnostics proprement dits mais aussi symptômes, syndromes, voire prise en charge thérapeutique ou catégorie de soins, problèmes sociaux ou psychologiques etc. Il s’agit globalement de tout élément significatif pour le suivi du malade.
Comment gérer les problèmes?
Une telle approche suppose que chaque problème suivi soit identifié lors de la saisie de la consultation pour que celle-ci puisse lui être ultérieurement rattachée à ce problème. Il peut ainsi exister un champ " Motif de la consultation" un champ "Grand évènement" se prête plus particulièrement à cette identification. Mais il peut être également possible d’insérer l’identifiant du problème dans le texte même de l’observation.
La liste des problèmes est la colonne vertébrale
du dossier. Elle contient tous les diagnostics et états significatifs
potentiellement utiles à connaître pour la suite de la prise en charge. Pour chaque problème, les
dates de début et de fin sont notées. La liste des problèmes est à la
fois un résumé de l’histoire médicale du sujet, un reflet de la
situation actuelle (problèmes actifs), et une table des matières du
dossier.
La liste des problèmes est un résumé
constamment à jour de l'histoire médicale du patient.
Comment saisir les informations dans POMR?
La deuxième originalité du POMR est la méthode
proposée pour saisir les données pendant la consultation, résumée par
l’acronyme SOAP.
En France un groupe de travail réuni en 1996 sous l’égide de l’Agence Nationale pour le Développement de l’Evaluation Médicale (ANDEM) a proposé de simplifier la méthode SOAP, en particulier en raison de la difficulté à faire la part du subjectif et de l’objectif. Il propose 3 types de données :
GEHR:
le standard européen.
Good European Healthcare Record , c'est la "Bonne manière de faire un dossier médical". Des travaux conduits au niveau de la commission européenne de normalisation (CEN TC 251) ont abouti à la proposition de la prénorme GEHR du domaine public, connue en France sous le nom de projet “informatique de santé/architecture de dossier santé informatisé”
Structure du dossier?
Une nouvelle information dans le dossier médical d'un patient, crée une "transaction".
Une transaction comporte une série d’ items.
Chaque item peut avoir un contenu (venant du dictionnaire de termes) et d'autres attributs.
Afin d’éviter de devoir appeler un par un ces items, vous pouvez élaborer des séquences regroupant de tels items.
Rien de nouveau sur ce plan: La 'transaction' est une 'consultation', les 'items' sont des 'questions', les 'séquences' des 'questionnaires'.
Quoi de neuf?
Dans le système
GEHR, chaque donnée est indépendante et non
modifiable. La transaction contient les attributs éthiques et
légaux qui permettront le contrôle de sa circulation (l'auteur en a-t-il
permis le transfert ? les droits d'accès sont-ils restreints ?).
Tout logiciel conforme à
l’architecture GEHR est capable d’échanger des dossiers médicaux
ou des sous-ensembles de dossiers médicaux (avec les logiciels
utilisant GEHR!!)
Un exemple
Développé par la société HDMP, Health One est le premier logiciel adapté aux spécifications GEHR.
HEALTH one comporte trois niveaux
d’information de base, à savoir:
- Le dossier médical: tout patient possède un dossier où sont consignées ses
données médicales.
- La transaction: un dossier médical est fait d’une succession à la fois
d’interactions du patient avec un ou plusieurs médecins, médecin spécialiste,
autre intervenant médical, et d’examens techniques.
- L'item: une transaction comporte une série d’items.
Chaque item peut avoir un contenu (venant du dictionnaire de termes) et d'autres attributs
HEALTH one propose deux types de dictionnaires: un dictionnaire des items et un
dictionnaire des termes.
Le dictionnaire des items donne une liste des noms de tous les items disponibles
(poids, sexe, cholestérol, etc.). En tout, le dictionnaire propose plus de 3600
items. Le dictionnaire des termes quant à lui renseigne plus de 10000 termes et
expressions médicales pouvant être utilisés comme contenu d’item.
Il vous est possible de générer votre propre dictionnaire utilisateur pouvant contenir jusqu’à
1.000 termes.
Réaliser une analyse consiste à recourir à des formules
d’extraction de données, les items et leurs attributs agissant comme filtres,
afin de mieux saisir l’évolution du patient.
Un autre exemple:
Crossway Ville de Cegedim Logiciels Médicaux
déclare suivre les directives du CEN (Comité Européen de Normalisation)
. Le dossier est composé de 'contacts' classés par ordre chronologique. Chaque
contact est daté signé et selon de choix de l'utilisateur peut être rendu
lisible ou non par d'autres intervenants (droit d'accès du site
client).
Le
dictionnaire de médecine générale de la SFMG.
Chaque consultation comporte exclusivement des résultats de consultation ayant une structure prédéfinie. Pour saisir les résultats de consultation , on puise dans un dictionnaire.
Le Dictionnaire de la Médecine Générale est l'œuvre collective des médecins de la Société Française de Médecine Générale
à partir des travaux du Dr R.N. BRAUN.
Ce dictionnaire a donc pour objet la description des résultats de consultation issus de la norme biomédicale.
Pour ce faire, il définit la sémiologie des états morbides les plus fréquemment rencontrés
( les 300 les plus fréquents) dans l'activité quotidienne des médecins généralistes.
La définition est choisie en fonction de l'association des éléments sémiologiques caractéristiques
Un résultat de consultation comporte:
1-La dénomination: MIGRAINE
2-Critères:Chaque dénomination se définit à partir de
critères appelés également items.
++++ Mal de tête durant de 4 à 72 heures
<= critère obligatoire
++2¦¦ unilatéral
++2¦¦ pulsatile
<=2 critères doivent être présents
++2¦¦ modéré ou sévère (et non "léger")
++2¦¦ aggravé par les activités physiques
3-La position diagnostique. c'est un "symptôme"
un " syndromes "un "Tableau de
maladie"ou un "Diagnostic médical
complet".
4-Le code suivi : utilise les lettres suivantes : N pour état morbide nouveau,
P pour état morbide persistant, R pour état morbide révisé.
Il est possible d'ajouter des commentaires.
Cette méthode très originale et bien adaptée aux généraliste se suffit à elle même sauf pour les affections ne rentrant pas dans la liste.
Elle oblige à un formalisme un peu long pour certaines affections très courante (critères de la constipation!!); pour les affections plus rares pour le généraliste, cela m'aiderait d'avoir les critères mais voilà, elles ne font pas partie de la liste.
Les
réseaux sémantique:
NAUTILUS a développé un projet en Open-source: le Modèle Unifié : un ensemble de technologies de représentation des données du dossier patient couplées à des interfaces naturelles et simples à utiliser. Les technologies utilisées sont : « système centré sur un lexique », « réseau sémantique », « base de Fils guides », « fiches d'informations », « comptes rendus virtuels », « générateur dynamique de pages HTML
Curieusement
les articles de journaux, test de logiciels, cahiers des charges en informatique
parlent peu du dossier vivant alors que cela nous semble fondamental.
Les données mortes sont trop fréquentes (données
écrites et jamais relues)
La fonction d'"affichage" est primordiale:
Utilisation d' un filtre :
Permet de visualiser les consultations une à
unes mais seulement celles contenant un élément déterminé:
Ne voir que les consultations de la grossesse
Ne voir que les consultations contenant le terme
"angine" ou celles décrivant le résultat d'une coloscopie.
Avoir une vision orientée spécialité :
Ne voir que l'Orl ou la gynécologie.
Qu'apporte la structuration du dossier?
Le médecin généraliste a de moins en moins de temps.
Il nous semble important de
convaincre le médecin de choisir un logiciel performant comportant des questionnaires et
des modes de consultation performant.
En effet, le médecin non informatisé à peur de
la complexité de l'informatique (voir la tète du médecin quand, lors d'une
démonstration, on lui montre l'usage des questionnaires!!). Il voudrait quelque
chose de simple qui ressemble à sa fiche papier, qui nécessite peu de
formation.
Il faut lui faire comprendre que l'informatique peu
rendre le dossier plus performant mais à condition d'avoir un logiciel
performant et d'apprendre à l'utiliser.
Il existe 3 niveaux de formation :
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